Cette inversion des responsabilités est un héritage millénaire. Elle renforce l’idée que si une femme ou un enfant subit des violences dans son foyer, c’est qu’ils n’ont pas su prévenir, fuir ou réagir : « Pourquoi n’est-elle pas partie ? Pourquoi n’a-t-il pas parlé ? Était-ce si grave ? N’as-tu pas, d’une certaine manière, déclenché sa colère ? »
Mettre fin à l’inversion des responsabilités dans les violences intrafamiliales
